Jai été heureuse pendant deux heures, c’est à dire tout le temps que je vous ai vu. À présent, je suis triste à mon ordinaire.
J’ai reçu avec respect les messagers du coton, leur blanc, leur gris et ces pommelés. Oui, tout ce qui sied à la saison, à ce quinze février en manchette de printemps.
Je suppose que vous reviendrez à Paris. Votre place à mes côtés vous met en état de servir ma joie.
Je pense à vous, mon beau soleil.
Adieu.
Hiloée
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Carnavaldes papiers dorésdes jupes noires et rosesdes cornes de taureaucarnaval se pavanesous le soleil de février15 févrierMargueritte C.
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