podcatastrophe du 26
février sécurité sociale
Aujourd'hui,
"
il faut garder les siens en liesse " (P.
Alechinsky )
Bonjour écrituriste , la
langue d'André a fourché de travers en empruntant les mots de
P. Alechinsky
la
bonne formule est inscrite en dessous et l'ancien mail n'est plus a
considérer ,ça pourrait dérangerles papillons en Amazonie ...
"rendons
aux citations les mots qui leurs appartiennent "
Aujourd'hui,
"on
est prié de garder les siens en liesse "
(P. Alechinsky )
Aujourd’hui 4 minutes de plus d’ensoleillement qu’hier..
Si on multiplie une moyenne de 4mn par 26 jours, on obtient plus d’une 1heure et demi d’ensoleillement depuis le début du mois…. Vous en êtes- vous rendu compte ??? Moi, oui !
Ces petits bouts mis bout à bout…Alors j’imagine, dans une vie, des petits bouts d’ensoleillement, des petits bouts de bonheur, des petits buts d’émerveillement… mis bout à bout…
Aujourd’hui, comme hier et comme demain, le temps s’égrène…Et si le temps semait des graines en s’égrenant !!!
Graines de citrouilles pour les Cendrillon en attente de carrosse, graines de petits pois pour les princesses qui rêvent de long sommeil, graines de malice pour toutes les petites Alice, graine de pavot pour toutes les petites Margot…graines de bourdaine pour le jardin d’AYDEN…
Graines de potiron pour les mirlitons, graines de fantaisie pour les amies, graines de monarde pour les copignardes, graines de poivrier pour les adeptes de 29 février…
Finalement, qu’importe la graine, pourvu qu’on ait l’ivresse !!!!
A l’heure où la planète TERRE est en sursis, semons nos graines d’Espoir…
Mais comment en suis-je arrivée là, aujourd’hui… ???
Sans doute quelques graines de folie, semées sur mon chemin… Ah ! que le hasard fait bien les choses !
Dominique D.
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Bonsoir, Voici à la sortie d'un spectacle ma contribution tardive pour ce aujourd'hui à l'heure de demain. Amicalement. Brigitte
A la lumière de cette expérience du projet "29 jours"
abécédaire des ajourd'hui en authenticité
brassées de beauté, de bienveillance
caracolades créatives sur clavier
divine détente au détour
émerveillement de cet engagement écrituriste
fabuleuses fantaisies filées
gloire à la générosité et la gaîté
humanité hautement honorée
intenses et incroyables instants
joyeux jeux jubilatoires
kaléidoscope, kyrielle de kifs
lumineuses lettres et locutions
majuscule de mots magnifiés
nue, nature pour les narrartions
optimisme oser l'ouverture
pointage du petit, pour passage vers paradis
quiète quête du quoi, du qui
ritournelles ronronnantes en rimes
sensibles solidarités souriantes
traversées textuelles en tendresse
unité, univers unifiés
vivre en volupté verbale
"writter I am", waaahou, wawahou
"xyz" réservés pour talents XXL (joker)
yes en yin, yes en yang, yoga du yin, yang
zigzags, zut, zut et puis .... zénitude !
Brigitte F
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Instant gourmand
ce matin
4 heures
la fenêtre recueille l'écho des oiseaux
digestion éloquente
cannelle citron gingembre
l'eau tiède évapore le miel
nous deux
instant gourmand
Marguerite C
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Bonjour, on est le 26 février 2016. Il a commencé comme un petit jour normal, mise en route un peu lente et le reste sans précipitation !
Activités de routine, avec lecture des journaux, jusque là rien pour me ragaillardir l'entrain, quand tout à coup je suis tombée sur le sourire de ma journée.
Il y a une heure, je terminais de parcourir M le magazine du Monde, et là en avant-dernière page, une information insolite qui tout de suite devient comme une rencontre. Il y est rapporté que Gérard Fromanger (il expose actuellement au Centre Pompidou Paris ) est "un inconditionnel des peintres du dimanche" et qu'il collectionne des photos les representant eux et leur chevalet, en action sur le motif.
Il témoigne en ces mots parlant de ces peintres : "j'admire ces hommes et ces femmes qui cherchent à être le plus juste possible, ils ne truquent rien, ils y croient, il n'y a aucune malhonnêté, aucun carriérisme, aucun calcule ou cynisme, c'est une source d'eau fraîche qui résonne profondément en moi."
A ce point-çi, vous avez déjà commencé à croire que moi aussi je pratiquais le plein air artistique, et que j'étais prête à m'identifier en reconnaissant dans ces lignes la justification d'un loisir qui porte à sourire. Mais non...non, c'est que moi, avec le même attendrissement je collectionne leurs toiles, mes murs sont couverts de toutes leurs maladresses appliquées, de leur naïveté sincère, ou d'une gaucherie qui cherche un élan. C'est ce qui me plaît en eux et que je recherche.
Pour les découvrir je cours brocantes et vides-greniers, très tôt le dimanche matin.Chaque trouvaille, arrachée souvent au pire abandon de l'indifférence me donne l'impression d' une sorte de sauvetage propice à une rêverie. Délaissant les bouquets de fleurs, je m'intéresse un peu aux portraits, mais surtout aux maisons, voire aux paysages. Les lieux de l'enfance, les maisons de vacances font de bons sujets, on peut souvent percevoir ce qui liait le peintre à son motif, et ce qu'il voulait s'accapparer, c'est la part la plus captivante pour moi . Les lieux d'histoire sont rares, ils sont délaissés au profit de visions plus simples et plus intimes.
Leur valeur marchande ne rivalise bien sûr pas avec l'attachement que je leur porte, ils me tiennent compagnie. Je les aime.Et l'article apporte un témoignage sur l'autre face d'une même réalité.
Edith
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« Aujourd’hui il faut relire Pasolini », me recommande une professeure de lettres du lycée Paul Eluard de Saint-Denis.
Visiblement, c’est une nécessité partagée par de nombreux lecteurs, car impossible d’emprunter Les Ecrits corsaires, les bibliothèques que je fréquente ont toutes été dévalisées de leurs exemplaires. Zut ! Moi qui comptais dessus pour vriller février !
Heureusement, il n’y a pas que Pasolini pour éclairer nos jours ! Et si on veut les égayer, mieux vaut compter sur d’autres.
Je m’éloigne donc du conseil de lecture et vous propose d’aller voir du côté de La Femme dans l’auto avec des lunettes et un fusil. Rien, que le titre, programme suivi scrupuleusement par Sébastien Japrisot chapitre après chapitre (I/ La Femme, II/ L’auto, III/ Les Lunettes, IV/ Le fusil) en dit long sur le caractère délicieusement loufoque de ce polar rocambolesque. (Un long dimanche de fiançailles du même Japrisot vaut le coup d’être lu aussi, vous serez entraînés par le style et le suspens de ce récit de guerre, cependant n’espérez pas enchanter février avec. C’est lui qui vous aura !)
En ces temps de commémoration de 14-18, ouvrez La Main coupée. Et régalez-vous ! Oui, sans blague, vous vous éclaterez ! C’est pas Verdun mais la Somme. Vous n’apprendrez pas comment Cendrars a été fait gaucher, par contre vous saurez tout de la matelote d’anguilles, du canotage, de l’art et la manière de dresser les caniches et de traverser tout Paris avec une compagnie de chevaux.
Pour que la bonne humeur l’emporte définitivement sur la bile noire, prenez les tribulations des occidentaux au Japon, L’Honorable partie de campagne de l’ambassadeur français Philippe Raucat par exemple, ou La Métaphysique des tubes d’une fillette à l’humour belge, devenue célèbre sous le nom d’Amélie Nothomb. Stupeur et tremblement vaut aussi son pesant de rires, paraît-il, mais ne l’ayant pas lu, je ne peux l’attester.
Que les amateurs d’humour dada lisent les conférences de David Wahl, le Traité de la boule de cristal et l’histoire du manchot (là j’ai oublié le titre). Ou même, si l’occasion s’en présente, allez l’écouter ! Effet Shadock garanti, la science en plus !
Février étant le mois des crêpes, goûtez l’Omelette au sucre, vous vous offrirez une bonne tranche de rires !
Lucile
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Encore un Aujourd'hui qui se déroule.... Bonne fin de week-end !
Agnès
Toboggan vers Mars
Aujourd'hui
j'ai vu les nuages
griffer le ciel
et le gris se déchirer
en perles de papiers froissés
vers l'horizon
où les rochers arriment
la tempête apaisée
Aujourd'hui
j'ai pêché la plume
grattant les étoiles
vers l'avenir paisible
d'une glissade
sur les versants de Mars
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